Au bar...

Elaine entra dans l'établissement. Elle était en pleine forme et avait envie d'une petite consommation. Elle ignora les sifflements des marins saoulons. S'ils continuaient, ils allaient passer un mauvais quart d'heure avec Elaine lorsqu'ils seraient sortis du bar. Elle alla s'asseoir au comptoir, non loin d'un jeune soldat et apella le barman:

-Garçon, un whisky!!!!

Le barman lui apporta son verre et le sirota en silence. Elle parcourut les murs et vit soudain un petit cadre. Sur la photo, il y avait son défunt père, le grand pirate qu'il avait été. Elle se mit à sourire puis continua de siroter son verre.

Roberto releva la te^te en voyant uen femme s,ssir pas très lin de lui au bar. Et les hommes qui al sifflaient... aucun respect pour les femmes. Roberto la regarda....il commençait à comprendr eun peu leur réaction....mais tout de même. Il bu uen autre gorgé. Il regdra la femme il ne l,avit jamais vue dans le coin.

"Bonjour mademoiselle, je ne vous avais jamasi vue dans le coin vous êtes nouvelle...d epassage peut-être?"

demanda t'il gentilement.

Elaine tourna son visage vers le jeune homme. Il n'était pas mal. Mais bon sang!!! À quoi pensait-elle? Elle était pirate après tout. Elle garda un air neutre, observant le jeune homme. Elle répondit finalement:

- Oui, on peut dire que je suis nouvelle. Je n'ai nulle part où aller...et cet endroit avait l'air bien...charmant...

Elle entendit un matelot la siffler mais elle l'ignora. Elle allait lui trancher la tête plus tard. Elle n,avait nulle part où aller puisque son bâteau venait d'être coulé. Le grand ''Cristal Noir'', bateau ayant appartenu au plus grand des pirates, perdu au fond des océans. Elle préférait ne pas se remémorer cette scène.

Elle ajouta:

-Dites moi, à qui ait-je l'honneur?

Elle attendit la réponse du jeune homme en buvant son fort.

Il la regarda intrigué dans un certain sens.

"Nul aprt où aller ? C,est dommage ça. Je suis roberto Loquiz, et moi puis-je connaître le nomde la jolie demoiselle assis devant moi?"

dit il en souriant amicalement.

Elaine prit un ton très courtois:

- Je suis Elaine Marley...enchantée.

Elle espérait qu'il ne conaissait pas l'histoire de son père. Elle se ferait surement chasser. Elle reprit sa figure neutre et demanda:

- Qu'est ce qu'un homme comme vous fait dans une taverne si miteuse?

Le barman laca soudain des éclairs a Elaine mais se ravisa lorsqu'il vit la dague qu'elle portait sur elle.

(Premier poste! Il est toujours long, celui-là…)

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La petite pirate sifflotait son air préféré tout en descendant la rue pour se rendre au bar où elle était certaine de retrouver cette chère Elaine. Ah, comme la vie était bonne. Beth avait tout pour être heureuse. De la liberté, une bande sadique, une amie des plus sanglantes, le visage sale et même crasseux, et, ah oui, de la liberté. Elle avait songé d’écrire à ses parents pour leur faire part de ses excursions de mercenaire, mais bien que l’idée était tentante pour enrager son père, elle renonçait à chaque fois. À quoi bon gaspiller du papier quand il pourrait servir à s’allumer un feu lorsqu’on se les gèle?? Quand à l’encre et à la plume, celui qui avait contribué à la faire venir au monde pouvait se les mettre là où elle pensait…

Beth regardait autout d’elle. Ce quartier n’était pas trop snobe. Tant mieux! Que de choses pour lui rappeler d’où elle s’était enfuie… Et ce quartier n’était pas trop galleux, ce qui était également une bonne chose. Les pauvres n’ont pas grand chose à offrir, et leurs cadavres n’étaient pas aussi plaisant à piller… Elle se mit alors à penser au mois dernier, où ils avaient attaqué une ville coloniale. Elle en avait profité pour dévaliser un manoir où un lointain parent d’un duc quelconque résidait. Quelle partie de plaisir fou!! Ils avaient balancé un clavecin par la grande fenêtre et décroché le chandelier au plafond avant de le défaire de ses perles et pierres précieuses pour ensuite le jeter par dessus la balustrade. Un fracas infernal! Bien entendu, cette partie de pillage à volonté (all-you-can-take, yarrgh!) s’était terminée avec le flambage habituel de la baraque, dépourvue de tout objet de valeur… Cela avait été une nuit des plus furctueuses. Beth adorait ce métier. Et comme si cela n’était pas assez, sa partie du butain lui avait permis de se procurer de nouvelles bottes, le confort, quoi? Aussi, elle pouvait maintenant se vanter de son tricorne neuf, quoiqu’un peu tordu, dont elle était incontestablement fière. Ah oui, elle avait eu droit à une consommation raisonnable de rhum, son favori.

La jeune femme s’arrêta alors. Elle était arrivée au bar. Elle poussa la porte et y entra.

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Beth scruta les lieux baignant dans la pénombre quasi-totale puis sourit. Elle venait de trouver Elaine. Cette dernière se trouvait au comptoir, en train de discuter avec un homme. En s’approchant, la jeune pirate examina l’homme en question. Elle voulu constater qu’il n’était pas si mal, en terme de look, mais son instinct lui en dit tout autrement.

* Oh mais putain, c’est un soldat!! Quel merdier! Et Elaine qui trique avec!! Qu’est-ce qu’il lui prend, bon sang?? *

Elle n’avança pas davantage. Non parce qu’elle était peureuse (non, mais, vous voulez rire??), mais elle se méfiait. Elle n’était pas trop du genre à réagir de manière impulsive lorsqu’elle se sentait surpassée en nombre. Oui, car quand ils y a cinquante autres membres d’équipages, pour la plupart des hommes assez bien bâtis, aussi assoiffés de sang que soi, il ne faut pas s’inquiéter du fait que l’on pourrait se faire passer une corde au cou. Cela dit, au cas où Elaine ne l’aurait pas remarqué, elles n’étaient que deux, et même si elles avaient bien de l’expérience et que cet homme semblait seul, il ne fallait pas trop se fier aux gens dans le pub. Pour sa peau, on ne peut jamais être trop prudent, et là on fait mention de sa vie…

Tout en tâchant de rester vigilante, Beth s’introduit finalement dans leur conversation, avant même qu’ils aient le temps d’échanger une autre phrase.

« Tiens, te voilà, toi!, dit-elle à Elaine. »

Malheureusement pour elles, elle ne fut pas aussi courtoise qu’Elaine vis-à-vis le jeune homme en face d’elles. C’en est assez des manières, quand on a passé toute son enfance serrées entre ces codes de vies… Néanmoins, Beth ne dit pas un autre mot, attendant la réplique de sa semblable. La vue de ce soldat la troublait quelque peu.

Elaine se tourna soudain vers Beth et dit avec un sourire:

-Tiens...Beth, tu me cherchais?

Elle lui sourit malicieusement.

-Il y a quelque chose?

Elaine avait l'habitude d'être indifférente envers tout le monde. Elle retenait cela de son défunt père: aucune pitié pour personne. Elaine se demandait parfois comment Beth était capable de la supporter. Elle reprit une gorgé de son verre et se retourna vers Beth.

Elaine entendit l'homme s'étouffer et lui donna une tape dans le dos:

-Mr. Loquiz, attention de ne pas boire trop vite. Vous risquez de mourrir dans ce bar ridicule.

Un autre coup d'oeil du barman envers Elaine. Mais elle s'en fichait. Elle suivit le regard de l'homme qui s'arreta vers son amie. Elle rit mesquinement et dit:

-Si ca vous intéresse, elle est célibataire...

Elle sentit Beth la foudroyer du regard. Elle se leva et ajouta:

-Mais je ne la laisserai pas entre vos griffes de soldat. Adieu mr. Loquiz.

Elle entraina son amie a l'extérieur et toutes deux commencerent a marcher vers le quai.

Elaine regarda derriere elle et elle vit le soldat sortir du bar, regardant à droite et à gauche. Elle regarda Beth et dit:

-Rejoins moi au quai, j'ai un petit compte à régler.

Elle retourna vers le bar et vers le soldat. Ses yeux mauves reflétaient la colère. Elle demanda d'une voix sévère:

-Vous nous suiviez n'est ce pas? Je demande à savoir pourquoi!

Une main sur le manche de son sabre, elle attendit la réponse de l'homme.

Roberto la cherchait des yeux. Sans pour autant y aprvenir il se tourna vers où la voix provenait sortant aussitôt son épée la poitant en faisant des demi cercle de 180 degré devant lui pour guetter l'approche.

"Les pirates ne sont pas les bienvenu ici. Toute personne, femme ou homme accusé d'acte de piraterie ou d'aide à un ou une pirate devra être pendu, ordre du gouverneur."

La jeune fille pouvait bien de pas être pirate mais son père en était, d,une façon ou d'une autre elle passerait par la corde au cou.

Elaine se mit à rire:

-Hah! Essaie donc d'attraper la fille du grand Marley si tu le peux. Je sens que je vais bien m,amuser ce soir.

Elle sortit l'épée de son pere de son fourreau et rit malicieusement:

-Pret a bouger, petit soldat?

Elle se mit a rire et s'élanca gracieusement sur le soldat, lui faisant une plaie au ventre. Elle se mit à rire et se recula:

-Ce n'est que le premier coup et je t'ai déja eu. Prépare ton testament petit soldat.

Elle se remit en position d'attaque.

Roberto avait beau être face à une fille d'un célèbre pirate il n'en restait aps moins qu'il était un bon soldat, un exellent et cette femme trop sure d'elle gouterais à son épée. Sa main libre alla tater sa plait saignante. Elle était bonne certe mais rien n'était perdu....

"Tu es trop sure de toi. Cette vantardise causera ta perte pirate!"

il se déplaca de coter en avançant et écorcha le bras tenant l'épée D,Élaine. Il tourna encore pour la prendre derrière l'homoplate, pan un autre écorchure rouge vif.

"N'oublie aps que n'est que sa fille et non Marley lui même."

Il s'éloigna un instant.

"Rend toi, tu auras droit a un procès équitable..."

il mentait.

Elaine le foudroya du regard et dit:

-Ne sous estimez jamais les femmes...

Elle courut vers lui, la petite étincelle des Marley dans les yeux, et escrima un peu avec lui. Avec une grande agilité, elle fit tomber l'homme par terre et mit un pied sur son torse. Elle dit en souriant:

-Comme je te l'ai déja dit, ne sous estime jamais les femmes.

Elle sortit un poignard et lui planta dans la main, ce qui l'ancra au sol. Elle passa un de ses doigts fins le long du visage de Roberto et dit malicieusement:

-Désolée mon chou mais je dois absolument rejoindre une conaissance. Sois chanceux que je ne t'ai pas tué, je ne voudrais pas abimer ton petit visage sensible.

Elle se mit ensuite a courir vers le quai.

(suite, quai)